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Bravo à tous et surtout merci à vous car c'était super de venir supporter une telle équipe!!
Voici le lien pour les photos qu'on a prise avec Alex, dites moi si ça ne fonctionne pas! On a essayé de prendre tout le monde mais certains sont passés trop vite 
Bravo à l'ensemble du BAT pour cette belle participation et merci pour les encouragements des accompagnants.
A l'exception de David, mon podium semble être passé inaperçu. Je me classe donc 3ème VH2, non sans fierté, après avoir fait 5ème en 2011 et 2013.
Nico, je relève le défi pour 2016, ne lâche rien. Tu as raison, c'est une belle épreuve.
Bonne récup
J'oubliais. Mention particulière au jeune Thierry BERTHOU qui, pour sa 1ère Pyrénéa, se classe 4ème VH2 et qui ne manquera pas en 2016, je l'espère, de venir me disputer ma place
bravo a tous et surtout bonne recup
en esperant un jour pouvoir m aligner sur cette epreuve pour voir si ca pique vraiment
a tres vite fred
Une très belle édition 2015 pour le BAT :
- Tous Finishers dont nos 2 féminines : Marika et Aurélie !
- De très bons résultats d’ensemble avec mention spéciale bien sûr pour Jérémy (4e au scratch), mais aussi pour Marika (3e SF), Jacques (3e V2H) et Jean-Pierre (1er V3H).
- Beaucoup d’encouragements tout le long de l’épreuve et une belle atmosphère d’amitié et de convivialité à l’arrivée entre Finishers et accompagnants.
En conclusion, un grand bravo à vous tous (Individuels et équipes) et continuons à préserver ce formidable état d’esprit qui règne au sein du club.
Amicalement.
Eric
Félicitation à toutes et tous, p..... ça donne envie pour l'année prochaine. Bonne récup
Félicitations à nos 2 valeureuses triathlètes et à vous tous Messieurs .
Personne n a lâché . Malgré des conditions climatiques peu agréables tout le monde à son niveau a donné le meilleur de soi même et s est motivé à sa façon pour aller au bout de cette terrible épreuve.
Bonne récup
Salut tout le monde,
Je sais bien que le compte-rendu que vous attendez n’est pas le mien ;-) mais je voulais quand même vous faire partager quelques une de mes réflexions de dimanche parce que si physiquement on n’est pas toujours beau à voir, psychologiquement pour ma part c’est pas mieux : je me retrouve par moment avec un QI qui avoisine celui d’une chips !
Départ de chez moi à 7h. Je suis pas en avance (rien d’anormal pour moi). A Gan, je me demande si la voiture devant moi va à Rénénacq aussi.
Le mec a l’air d’avoir autant de bordel dans son coffre que moi. Voyons d’un peu plus près. C’est quoi ce truc qui dépasse ? On dirait un guidon de vélo, mais il est droit. Comme celui d’un VTT. Un petit VTT. Ah non, c’est sa pompe à vélo……………….Et meeeeeerde, j’ai oublié de gonfler mes pneus. Boh, je les ai gonflés avant la sortie de la semaine dernière, ça devrait passer.
(Finalement je trouve à Rébénacq une âme charitable en la personne de Georges, et mes pneus se retrouvent gonflés à bloc ! Merci Georges !)
Le temps que je récupère mon vélo, que j’amène mes affaires de vélo, que je récupère mes affaires de ski, que je les dépose, que je dispatche chacun des milliards de trucs auxquels il faut penser dans le bon sac… Il est déjà 8h passées. Je suis pas en avance, mais pas en retard non plus. Ça reste du nominal. La navette est en retard aussi donc tout baigne, je la prends à 8h15 et j’arrive à Beaumont comme une fleur à 8h40.
[Petit flash-back : Patrick m’a prêté une montre qui fait cardio+GPS. Je l’ai essayée mardi dernier pour voir. J’ai commencé à trottiner. Elle indiquait 260 puls/min. Hum… Je me suis demandé si le problème venait de mon cœur ou de ma montre, jusqu’à ce que la montre m’indique 0 puls/min. Low battery. Bon, ça c’est fait, je n’aurai jamais testé la montre. Le positif dans l’histoire, c’est que le problème ne vient pas de mon cœur !]
Donc le jour J, à 8h40, je mets la montre de Patrick (que j’ai soigneusement chargée hier) (mais que je n’ai bien entendu pas testée) et je pars m’échauffer avec Aurélie. Evidemment la montre bippe, le GPS ne capte rien du tout, et il clignote rouge signe que la batterie est déchargée. Boh tant pis, de toutes façons je ne savais pas sur quelle vitesse me caler.
Le départ est donné, je me donne un rythme au feeling. A part les furies des équipes qui nous doubleront, je fais globalement toute la course à pied avec les mêmes personnes.
Vu les discussions autour de moi, on doit être autour de 12-12,5 km/h. ça me convient.
C’est cool, je me sens en forme. J’ai pas chaud, j’ai pas froid. En même temps c’est pas à la vitesse à laquelle je cours que je vais faire assez de courant d’air pour m’enrhumer. En fait, je me sens super bien :-D
J’ai le trio Patrick-Romain-Georges en ligne de mire pendant toute la course à pied.
Je suis sûre qu’ils sont supra constant (au départ, j’étais à côté de Georges et j’ai entendu que sa montre fait des bip bip bip tout le temps. Donc vu que ces bips, c’est méga chiant quand on n’a pas le même rythme que celui qui a la montre, j’espère au moins qu’ils la suivent !). Du coup, je dois être constante aussi. Cool.
Tiens, une fusée. C’est Florian.
Tiens, une autre. C’est Karim. Ah oui, Karim il va tellement vite qu’il a craqué son cycliste. Ou alors il était déjà craqué au départ mais il l’aime tellement et il se sent tellement bien dedans qu’il a voulu le mettre. Un peu comme moi avec mon bonnet de bain. Rho mais quand même, moi j’ai promis que je le mettrais pas en compet’ ce bonnet.
Il m’énerve c’uil là derrière à me coller et à respirer comme un bœuf. Je vais lui mettre une petite accélération pour qu’il me lâche. Et s’il me suit en respirant encore plus fort ? Bon finalement je vais pas accélérer, de toutes façons faut que je reste à ce rythme.
On est déjà à Rébénacq ? Coooool
Je suis en forme je suis en forme je suis en forme !
RAS pour la transition. Je n’ai pas fait de bourde. En même temps vu que la première épreuve n’était pas la natation je ne pouvais pas garder mes lunettes de piscine autour du cou :-D
C’est parti pour le vélo.
Premier coup de pédale à droite, crampe au mollet droit. Premier coup de pédale à gauche, crampe au mollet gauche. Deuxième coup de pédale à droite, crampe sous le pied droit (en plus des 2 autres crampes, sinon c’est pas drôle).
P***** de m**** fais c****.
Parait qu’il faut mouliner quand on a des crampes. Et boire. Et manger du magnésium aussi. Je vais tout faire à la fois on verra bien ce que ça donne.
Hop une barre de céréales et de l’eau+Isostar. Mouline mouline mouline. Toujours pareil. De pire en pire même, ça tétanise je peux même pas faire tourner les jambes.
Tiens c’est Romain que je vois devant (il a lâché son guidon, il a le buste relevé et il est en train de manger un truc). Il a l’air tranquiiiille. Pour un peu on pourrait croire qu’il est en train de se faire un snack au foie gras et au champagne.
Putain de conneries de craaaampes. Aïeeeu. Mais aïeeeu.
Deuxième barre de céréales et de l’eau+Isostar. Mouline mouline mouline. Toujours pareil.
Non mais Romain, t’as cru que c’était un rockingchair ton vélo ? ça devrait pas être permis de narguer comme ça ! (oui parce que Romain, il est encore tranquilou bilou sans les mains à déguster ses toasts de caviar).
Beuuuh euh euh…Aïeeeeeuuuu.
Un gel, une sporténine, de l’eau+Isostar, encore un gel. Mouline mouline mouline. Toujours pareil. A chaque descente, je tends les jambes pour m’étirer les mollets. Rien n’y fait.
Et bah voilà, j’ai fait mon obèse pour rien. J’avais même pas faim.
Au ravitaillement de Laruns, je pose mon vélo et je m’étire 3-4 minutes. C’est le seul truc qu’il me reste à essayer. Pourvu que ça marche, pourvu que ça marche.
Je repars. Ça a marché :-)
Effet du gavage ou des étirements ? Je ne sais pas mais je retrouve le moral. Les crampes ne sont pas loin du tout, mais si je ne force pas ça va.
Les gars du club me disent toujours « laisse toi un pignon de sécurité ». Bah les gars, désolée mais là ya plus de pignon de sécurité, tout est à gauche !
Allez vas-y, mouline autant que tu es bête. Voiiiilà, cooomme ça.
Et puis au final, dans la montée, plus ça va, mieux ça va.
Grâce à mon pignon de 32, je mouline tout le long, et ça dissipe les crampes petit à petit.
L’ascension est agrémentée par les apparitions de nos fervents supporters du BAT. Je les guette à chaque tournant.
Ah tiens, voilà Pascal. Cool ! Ah c’est nul il est occupé on va pas pouvoir échanger 2 mots. Oh qu’il est gentiiiiiil, il aide une jolie demoiselle qui a crevé.
Et ben la demoiselle je vais la détester après ! Déjà parce que tout le monde lui gueulait « ALLLLLLEEEEEEZ VERO », y compris depuis les voitures qui passaient un peu trop près de moi à mon goût pour se rapprocher de ladite Véro, ensuite parce Véro devait être kaput’ et qu’elle n’arrivait pas à avancer droit. Du coup, elle allait plus vite que moi, mais en zigzagant devant ma roue.
Fin de la montée, je suis aux anges. Le ski ne me fait pas peur, je me dis que le plus dur est fait.
Transition vélo -> ski de rando. RAS. Toujours pas de lunettes de piscine autour du cou.
Je pète la forme, je n’ai pas eu de crampes en mettant mes chaussures, tout va bien dans le meilleur des mondes !
Je monte, je monte, je monte. Les cuisses piquent un peu, mais pas de crampes en vue. Les mollets ne sont plus trop sollicités, je me sens bien.
Je monte, je monte, je monte. Tout est blanc. ça pique un peu plus.
On n’y voit vraiment rien. Quand est ce qu’on arrive ? Je reconnais rien du tout. Un jour je m’achèterai un GPS.
Oh le style de c’ui-là ! Est-ce que je vais avoir l’air de ça moi aussi en descendant ?
Après 50 minutes de montée. Mes jambes me font le coup de la panne. Plus de jus, plus rien à manger, plus rien à boire. Ne voyant pas bien l’intérêt d’un tête à tête avec mes jambes, je continue à avancer en essayant d’étudier la meilleure technique pour me servir des bras davantage que des jambes. Là, je suis sûre qu’en me voyant, on sait que j’en réduite à l’état « QI de chips ». J’en rigole même toute seule.
Ah ah ah aï-euuu j’ai maleeeu ! Quand est ce qu’on arriveeeu ?
Je m’approche d’une autre skieuse : « c’est bientôt la fin ? ». « Il vous reste 100 mètre et c’est bon ».
Méga sourire. Je finis l'ascension au mental. Vidée mais trop contente pour m’arrêter.
Un verre d’eau, déphoquage et je descends tant bien que j’ai maleuuuu ! Quand je ne vois personne à l’horizon, je sors un syle affligeant, dès qu’on peut m’apercevoir je donne mon meilleur pour garder un peu de contenance. Le ridicule ne tue pas, mais si je peux éviter d’être ridicule ça m’épargnera 6 mois de chambrage par les BATeux !
Et puis voilà, c’est presque la fin. Je raccourcis l’épisode des 3-4 minutes pendant lesquelles je me suis battue avec mes fix pour enlever mes skis, d’autant que je me suis allégrement poilée devant le BATeux qui n’arrivait pas à enlever ses skis sur la vidéo de la Pyrénéa 2013.
La ligne d’arrivée est passée.
Heureuse. :-D
Dernière modification par Marika (Tue-03-15 10:32:49)
Ça c'est du compte rendu:-) Mais oui le trou au cul de Karim j'y pensais plus mais comme ça m'a déconcentrée sur le moment!!! Il doit être super confortable ou alors il a des pouvoirs magiques, sinon il l' aurait jeté c'est pas possible 
Bravo Marika, pour une 1ère tu as vraiment fait le job, merci pour le récit vraiment sympa.
Génial , Marika !
Bonne récup.
bravo, belle perf pour notre guerriere
Bravo Marika pour cette 1ere Pyrénéa effectuée avec une très bonne gestion de ton effort (Plus de 50 places gagnées entre la fin de la cap et l'arrivée). Tout cela conclu par un joli podium en SF.. Super !
Un grand merci pour ton récit plein d'humour et très sympa à lire...
Joli CR pour info je me battais avec mes crampes également!! Ma technique était de tout mettre a droite pour ma part et boire bcp!! On pourra organiser un colloque ensemble sur ce sujet si tu veux savoir comment se sauver la vie!!^^
Très agréable à lire ce récit: en plus de ton talent de sportive, tu as un réel talent de narratrice
Ah ah ah...super compte-rendu de course Marika...très rigolo; au plaisir de lire les prochains récits de tes exploits 
...c'est bien dans l'esprit du Bat...sportif sans se prendre au sérieux!!!
Etre un pyrénéiste
Je suis tombé amoureux de cette belle épreuve lorsque Franck m’en a parlé en 2011. Je venais d’arrivé dans la région. Le défi me paraissait fabuleux. Lors de ma première participation en 2012, j’avais eu l’occasion de découvrir cette aventure et surtout le parc de transition de ski… . Je gardais depuis en tête une envie de bien terminer cette épreuve.
2013 sans Pyrénéa car j’ai eu une petite nièce.
2014 fût terrible. Une frustration mais beaucoup de sagesse de l’organisation. Je finis 12ème avec un sentiment qu’il me serait difficile un jour de rentrer dans le top 10 car les loulous comme Francky sont vraiment très forts.
2015 comme avec une base à pied plus solide suite aux entrainements de francfort. Je m’entraine moins mais j’essaye de mieux diriger mon entrainement avec SUSSU. Je roule beaucoup moins mais je monte une fois par semaine en rando. J’affiche l’objectif au 1er janvier de rentrer dans le TOP 10. Je multiplie les petites séances d’enchainements pour habituer les muscles.
J-30, la liste des participants sort, je vois que la course sera ouverte pour faire un top 10. Le mauvais temps me conduit à faire le semi-marathon de Nay. Nico Boyer, présent ce jour-là me pousse à rester à l’avant-poste dès le début de la course et je finis en trombe. Je prends un maximum de confiance.
J-4, la sortie des dossards. 3eme dossard masculin. La pression monte un peu. Je me dis que le top 5 est envisageable mais il faut garder la tête froide. J’établis la stratégie de course avec Nico. Je reste avec Fred jusqu’à la sortie de jurançon et après je vois mais je devrai être 2nd. Le vélo sera plus dur et quidd du ski. Sur le papier, c’est pas mal… .
J, tout est prêt, réglé au moindre millimètre.
Le départ est donné. Au bout de 10 mètres, je me mets dans les pieds de Fred. Au lieu de doubler les gens se mettent derrière nous alors que nous ne sommes qu’à 15km/h. Ca accélère sur l’avenue du 14 juillet. Sortie de jurançon Fred part avec Cauhapé et 4 personnes. Je suis à 90%, je me remets à 87% et la machine se met en route. Je vois la tête de course.
Au rond-point de l’entrée de Gan, Fred à lâché tout le monde et part seul en tête. Je reviens sur le groupe et prends la seconde position de la course que je tiendrai jusqu’à Rébénacq. Je me sens bien. Les autres n’ont pas l’air en forme mais je sais que je suis le plus faible à vélo. Mes petites femmes sont là et ça me rassure. Beau nombre de famille m’encourage. C’est dur mentalement car en prenant le vélo en 2nd, je ne peux pas finir 10ème.
Je pars en vélo, mes 3 compagnons partent comme des boulais de canons en vélo. Je suis seul jusqu’à Gere-belestin où un concurrent me double. Je m’accroche mais il roule trop vite. Chris cardin m’encourage, Sussu, Alex, Caro… c’est génial. J’attaque le col et je vois 2 personnes. Ça me rassure. Je me sens bien sur le vélo de chrono. J’en reprends un et Vignau me double comme un avion. C’est de la folie !
Après Eaux bonnes, j’en remets une couche, je sais que le ski n’est pas ma force. C’est dur. Le mental est à rude épreuve et ma petite fille et tellement fière. Un motard me suit toute la montée. Il a l’air sympa mais son pot d’échappement me rend sourd. Je pose le vélo 5ème. Je vois Franck, Sévérine, Thierry, Valérie et les enfants. Je suis à bloc. J’ai peur. Sussu m’a dit de partir en costaud pour faire le trou.
Je chausse, le président me dit que le podium n’est pas loin, GO GO GO !
Au bout de quelque mètres j’entends Henry un ami qui fera la monté sur la piste hors du balisage pour me motivé. La première pente et terrible. Je pense à Chris Dayries qui m’a prêté ses skis de fous et à Romain qui m’a prêté son casque. Je sers les dents. Je vois sur le replat le 4ème. Je maintiens le rythme mais je sais que ça va être dur. J’attaque petit coach en costaud. Je le reprends à moitié de grand coach. Je le devance de 20 mètre et tombe car je suis cuit. Je me relève, compte jusqu’à 5 et mets une accélération sans regarder derrière. Piètre skieur je dois redescendre avant qu’il n’arrive en haut. Je connais parfaitement la piste et ça m’aide beaucoup. Je remets un coup sur le replat. Je fais une transition éclair et redescend. Le 4ème n’est pas en haut, je dois gérer la descente et ne pas tomber. J’entends Thierry Lacoste qui m’encourage. L’orientation et difficile. Je finis avec ma grande fille. Je suis tellement tendu, j’ai envie de pleurer mais je n’y arrive pas. Le résultat m’importe peu à ce moment, je suis allé au bout de mes ressources.
4ème est pour certains une place difficile mais je suis fier du résultat. J’en espérais pas tant.
Un grand merci à l’organisation pour ce travail. Merci à tous les supporters et supportrices, ç’est vraiment important dans le dur. Merci à mes trois petites femmes.
Un grand bravo à tous les finishers du club, le résultat le plus important est d’aller au bout de soi-même. Bravo à mon poto Romain qui avait une revanche à prendre et finit une édition difficile. Marika peut désormais porter le surnom de MARIKATOR, ce n’est pas très sexy pourtant c’est une guerrière (je parle du surnom). Jacques fait une belle place. Aurélie ne lâche rien. David, merci de ne jamais te mettre au vélo. Nico les montées de nuits paies autant que les apéros. Thierry très solide, ça promet pour embrun. Georges, toujours souriant progresse d’année en année. Patrick sacré finisher. Julien toujours présent. Eric, dommage pour ce mal de jambe. Les équipes du Bat ont également cartonnées et je crois qu’ils vont doubler le chiffre d’affaire de l’europub.
Un club bien représenté tant sur la course que sur le bord avec une convivialité magique.
Maintenant un peu de récup.
Encore bravo Jerem !
Merci Jérémy pour ce récit très prenant et plein d'émotion.
Encore bravo pour ta superbe performance qui vient récompenser ta rigueur et ta volonté. Je suis très heureux pour toi et ta petite famille.
Jerem, BRAVO pour ta performance et pour l'effort qu'elle représente. Le jour J tout le monde voit les paillettes, mais les jours/les semaines/les mois avant ce jour J où tu t'es entraîné avec une rigueur et une volonté d'acier m'impressionnent encore plus ! Super résultat 100% mérité !
Et si mon compte-rendu vous a plu, tant mieux ! Maintenant vous comprenez pourquoi j'ai eu le sourire tout le long de l'épreuve !
C’est le cul à Karim en début de course??!!^^ 
Bravo à vous deux pour vos podiums respectifs et vos super récits !
Bravo à Marikator et à Spiritator !!
Cela vous va si bien
Et de très beaux récits
Allez je me lance ça sera plus rapide et moins spectaculaire!!
Après un abandon en 2013 et une édition 2014 écourtée un seul objectif finir....une préparation moyenne tant au niveau du volume de l’intensité que de la régularité une certitude le mental et la gestion appris la saison passée avec l’iron....
partie course à pied en trio avec Georges et Patrick ( merci les gars c’été super...) sur l'allure déterminée les semaines précédentes on gère nickel
t1 la météo est très incertaine on prend le temps de mettre des couches et les chaussures joliment entourées de cellophane pour l’occasion!!
Partie velo en grand cycliste reconnu que je suis je pars prudemment On passe louvie merde les crampes arrivent dans chaque mollets des que la route est plate...tout à droite on amene du braquet vivement que ça monte (1 ère fois de ma vie que je me dis ça! !) . J’arrive à laruns à l’allure souhaitée les crampes s’en vont chouette!! Le fait de voir tous les membres du club booster tout au long du parcours.j’essaie de rester concentré toute la montée on arrive à gourette 1h59 34s à mon garmin j’avais dis que je mettrais 2h je commence à me connaître!!
T2 je suis lucide balance une petite blague au public il rigole c bon elle été pas si pourri!! Je prend encore mon temps esquive une crampe en mettant mes chaussure un petit coca à la sortie du parc est le bienvenu c parti pour le ski..
ski de rando montée au train Un rythme moyen mais ponctué de bcp trop d’arrêt après réflexion. grand cotch ( ça s’écrit comme ça jerem et pas coach!!^^) un mur ou chaque pas engendre une crampe au cuisses mais ça passe à la tronche (je me dis qu’on est tous dans le même etat)arrivée en haut je prend le temps de boire un verre c presque du champagne pour moi l’objectif unique de finir va être atteint...la descente est très longue je reprend Patrick qui galère en ski ( un grand bravo à lui car bcp ne s’engage pas car il ne savent pas skier lui il l’à fait..) j’arrive en bas toute ma famille m’attend à l’arrivée ainsi que les suiveurs et supporters sans qui je pense la course seraient très monotone...
maintenant la pyrenea c check! ! L’an prochain je pense que je reviendrai avec d’autres intentions et une autre prépa histoire de titiller les anciens que je félicite pour leur performance...la saison de tri est lancée prochain objectif bilbao fin mai on va mettre la machine aero en route!!.. :-)
Merci à l’organisation aux supporters à la famille et surtout ma chérie et mon bibou qui sont pour bcp dans cette réussite...
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